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Kaempferia Parviflora pour de meilleures érections et, oui, un pénis plus grand

Par tongkatali.org
Mise à jour le 18 Avril 2023

Dans son édition du 15 janvier 2011, le magazine respecté Psychology Today a surpris avec un article remarquable, intitulé "The Rare Truth About Penis Size - Are there safe, effective ways to increase penis size ? Oui." [Source] [Source]

Cet aveu mérite d'être souligné car les médias grand public, dont Psychology Today fait partie, ont longtemps ridiculisé les inquiétudes relatives à la taille du pénis et proclamé, la lèvre supérieure raide, que "la taille n'a pas d'importance" : La taille n'a pas d'importance.

L'article paru dans Psychology Today, écrit par Michael Castleman de San Francisco, fait quelques concessions aux attitudes politiquement correctes concernant la taille du pénis, mais déclare également : "Bien sûr, un centimètre de plus ne peut pas faire de mal" : "Bien sûr, un centimètre de plus ne peut pas faire de mal".

Un grand pénis est-il important ? Pour les gens de l'industrie pornographique, oui. L'industrie pornographique a une raison d'exiger des pénis de grande taille : le choix des consommateurs. Si de nombreux spectateurs de films pornographiques préféraient les petits pénis, l'industrie pornographique embaucherait en conséquence.

L'acteur pornographique le plus connu pour son grand pénis est John Holmes. Lorsqu'il s'est marié pour la première fois, il a déclaré que son pénis mesurait 10 pouces. Au cours de sa carrière, cette affirmation a été portée à 13, 14, voire 16 pouces. La taille de son pénis n'a jamais été vérifiée de manière indépendante. Les angles de caméra peuvent contribuer à faire paraître les objets exceptionnellement grands. Holmes a joué dans plus de 500 films et est mort du sida.

En 2017, il a été rapporté que Roberto Esquivel Cabrera, alors âgé de 54 ans et originaire de Saltillo, au Mexique, avait demandé l'inscription au Guinness World Records pour avoir le plus long pénis, soit environ 50 cm. Il a également été rapporté que depuis son adolescence, il accrochait des poids à son pénis pour le faire grossir. Ce qui descend entre les jambes de Cabrera est lourdement bandé. Même pour un examen par un médecin, il ne voulait pas enlever le pansement. Mais il a accepté de passer un scanner (ne sachant probablement pas à quoi s'attendre), et cette technique d'imagerie a révélé que son pénis ne mesurait en fait qu'une quinzaine de centimètres de long. Ce qui atteignait ses genoux n'était qu'un prépuce (prépuce) très allongé.

Ci-dessous, une vidéo de Cabrera et de son demi-mètre, graphique mais non pornographique.

Un exemple est la remarque suivante de la conseillère sexuelle Ruth Westheimer, citée dans l'article de couverture de TIME du 4 mai 1998 : "Même si un homme a une érection du sol au plafond et qu'il peut la garder ainsi pendant une heure, cela ne sera pas agréable pour une femme s'il n'est pas sexuellement alphabétisé". (La première version de cet article de Serge Kreutz a été publiée en 2001, et cette citation est reprise depuis plus de 20 ans).

Mais la question n'est pas d'avoir un grand pénis, OU d'être sexuellement éduqué. La question est d'avoir un grand pénis fonctionnel ET d'être sexuellement éduqué.

Les opinions publiées peuvent être différentes des opinions exprimées en privé, même par des personnes qui publient. Le secteur de l'édition a ses propres règles concernant les informations qui peuvent être diffusées. La devise du New York Times est la suivante : "Toutes les nouvelles qui peuvent être imprimées". Lorsque Adolph S. Ochs a inventé ce slogan en 1897, il avait probablement à l'esprit ce qui suit : "Toutes les nouvelles qui ne sont pas obscures" : Toutes les nouvelles qui ne sont pas obscènes. Aujourd'hui, ce slogan signifie : "Toutes les nouvelles qui sont politiquement correctes" : Toutes les nouvelles qui sont politiquement correctes.

Un article mentionnant la taille du pénis comme un attribut important dans l'évaluation des qualités d'un homme en tant qu'amant n'aurait pas passé la censure d'Ochs pour cause d'obscénité. L'angle n'est toujours pas politiquement correct et est donc rarement publié.

Mais pour les personnes en privé, la taille a de l'importance.

Ce n'est pas que la taille du pénis soit un facteur déterminant dans le choix d'un partenaire pour la plupart des femmes. La plupart des femmes, où que ce soit dans le monde, s'inquiètent de savoir si elles seront traitées avec gentillesse par un partenaire intime d'une force physique supérieure. Dans les cultures qui méprisent les femmes qui ne sont pas dans une relation continue avec un conjoint, les femmes veulent d'abord la fidélité. Et puis, il y a les calculs économiques.

L'auteur scientifique le plus éminent qui valide les hypothèses de bon sens ci-dessus est David Buss, professeur à l'université d'Austin et spécialiste de la biologie de l'évolution. Parmi ses best-sellers figurent The Evolution of Desire : Strategies of Human Mating (1995) et The Dangerous Passion : Pourquoi la jalousie est aussi nécessaire que l'amour et le sexe (2000).

Mais il ne faut pas confondre deux aspects. L'un est le choix du partenaire féminin, l'autre est ce que les femmes trouvent sexuellement attrayant. Pour des raisons pratiques, à l'échelle mondiale, de nombreuses femmes peuvent opter pour un partenaire qu'elles ne trouvent pas très attirant sur le plan sexuel.

Dans les sociétés occidentales, les hommes se préoccupent de la taille de leur pénis, car ils ont appris par expérience intime qu'un grand pénis (pas étrangement énorme) est sexuellement attirant pour les femmes.

C'est une question qui n'est pas sans rappeler la taille physique. Les femmes ont une nette préférence pour les hommes de grande taille. Dans les sociétés occidentales, la taille se situe entre 1,80 m (183 cm) et 1,80 m (193 cm), moins dans les sociétés où la taille moyenne est plus basse. Dans les sociétés occidentales, les femmes sont moins attirées par les hommes qui ne mesurent que 5 pieds (152 cm). En revanche, les femmes ne sont généralement pas attirées par un homme de 7 pieds (213 cm). Statistiquement, il s'agit d'une courbe en cloche. La personne la plus grande de l'histoire est l'Américain Robert Wadlow, qui mesure 272 cm.

Les hommes peuvent sentir la taille que les femmes trouvent attrayante, malgré les publications qui éludent la question. Même les hommes les plus puissants de l'histoire de l'humanité ne sont pas à l'abri du désir d'avoir une taille attrayante. Josef Staline, par exemple, ne mesurait que 1,63 m, mais les photographes et les retoucheurs soviétiques s'efforçaient de le faire paraître plus grand.

Staline n'aimait pas le dirigeant français de la guerre, Charles de Gaulle, et le fait que ce dernier mesure 1,96 m ne lui a probablement pas valu la sympathie de Staline. Les deux hommes ne se sont rencontrés qu'une seule fois, le 2 décembre 1944, et il n'existe que des photos françaises de l'événement. De Gaulle n'est pas invité à Yalta où, du 4 au 11 février 1945, les dirigeants alliés décident du monde de l'après-Seconde Guerre mondiale.

Les hommes apprennent de leurs partenaires sexuelles qu'un gros pénis est une bonne chose.

Si les femmes ont plus facilement des orgasmes par stimulation clitoridienne, pour celles qui ont des orgasmes vaginaux, il faut que les paramètres du pénis soient adéquats (taille suffisante, rigidité suffisante et endurance suffisante). Technique sexuelle ? En général, les femmes qui préfèrent les orgasmes vaginaux appliquent leur propre technique.

Mais même lorsque la stimulation clitoridienne est préférée, l'idée d'un pénis grand et fonctionnel apparaît dans les fantasmes qui sont nécessaires pour faire de la stimulation clitoridienne un succès orgasmique.

Une étude scientifique australienne de 2013 a évalué comment trois paramètres déterminaient l'attrait physique des femmes pour certains hommes : la taille, le rapport épaules-hanches (corpulence athlétique) et la taille du pénis. Source : La taille du pénis interagit avec la forme du corps et la taille pour influencer l'attractivité masculine

Le scientifique a projeté sur un écran des images d'hommes grandeur nature, générées par le programme informatique MakeHuman. Les images exprimaient trois variables : la taille, le rapport épaules-hanches et la taille du pénis flasque. Au total, il y avait 343 images, chacune d'entre elles étant modifiée en fonction d'une seule variable. Les images ne variaient pas au niveau des traits du visage.

Les images représentaient les formes du corps et des organes génitaux que les femmes rencontreraient dans 95 % des scénarios de la vie réelle. 105 femmes hétérosexuelles âgées en moyenne de 26 ans ont participé à l'étude. 71,8 % d'entre elles étaient d'origine européenne, 20,9 % d'origine asiatique et 7,3 % d'origine étrangère. Chaque femme s'est vu montrer 53 images représentant toute la gamme des variations. Aucun enquêteur n'était présent lors des séances d'évaluation et les scores d'attractivité ont été enregistrés de manière anonyme.

L'image du milieu ci-dessous montre la moyenne des 343 modifications. La représentation de gauche montre la stature la plus courte, le rapport épaule-hanche le plus bas et le pénis le plus petit. Les valeurs les plus élevées sont représentées à droite.

Les résultats sont clairs. Les femmes jugent les hommes de grande taille plus agréables que les hommes de petite taille, préfèrent les hommes à la carrure athlétique et sont plus attirées par les pénis de grande taille. Outre la notation, les temps de visionnage ont été mesurés pour chaque image. Les participants au test ont passé peu de temps à regarder les images qu'ils considéraient comme non attrayantes (hommes obèses de petite taille avec un petit pénis). Une taille de pénis plus importante était associée à une durée de visionnage plus longue.

Physiologie et biomécanique du pénis : L'érection est facilitée par l'augmentation du flux sanguin vers le pénis et par la rétention de ce sang dans les corps caverneux et les corps spongieux. Le corps d'un homme contient environ 5 litres de sang. Lors d'un don de sang, la Croix-Rouge prélève moins d'un demi-litre et demande au donneur de se reposer pendant une demi-heure.

Un pénis moyen en érection d'une longueur de 13 centimètres (5,1 pouces) et d'une circonférence de 11,5 centimètres (4,5 pouces) prélève environ 125 millilitres de sang.

Le volume d'un cylindre est déterminé par la racine carrée du rayon multiplié par la hauteur multipliée par 3,14 (pi, une constante mathématique). Le volume d'un pénis de 13 cm avec une circonférence de 11,5 cm (rayon de 1,83 cm) est de 137 millilitres, soit un peu plus que les 125 millilitres de sang nécessaires à une érection (1,83 x 1,83 x 13 x 3,14 = 137). Si la longueur est portée à 26 cm (10,2 pouces) et la circonférence à 23 cm (9 pouces), le volume de sang nécessaire pour une érection serait d'environ 1 litre (3,66 x 3,66 x 26 x 3,14 = 1093).

Les personnes qui perdent 20 % de leur sang circulant (environ 1 litre pour un homme moyen) peuvent subir un choc hypovolémique et s'évanouir. Au-delà, une défaillance grave des organes est tout à fait envisageable. Quelque chose doit céder... et il est peu probable que ce soit la circulation systémique. Un pénis d'une taille maximale de 10 pouces peut avoir plus d'un demi-litre de sang qui y circule, mais le corps ne peut pas se permettre d'arrêter même près d'un litre de sang, et il n'y aura donc pas de rigidité. Et en effet, comme l'ont raconté des collègues de son secteur, le pénis englouti par le sang de Holmes ne serait pas une érection conventionnelle, mais plutôt une sorte de pain de viande moelleux.

Et ce, pour une taille de 10 pouces. Mais des affirmations ont circulé selon lesquelles Holmes avait un pénis en érection d'une longueur de 16 pouces et d'une circonférence de 13 pouces. Mais, s'il vous plaît, d'où le sang est-il censé provenir pour un pénis de 40,6 cm de long sur 33 cm de large ? Plus de 3 litres de sang seraient nécessaires (5,25 x 5,25 x 40,6 x 3,14 = 3513). Un corps attaché à une telle érection ne pourrait pas rester en vie avec 2 litres de sang restant.

En raison des limites biomécaniques de la taille fonctionnelle du pénis, il est préférable de ne pas avoir un membre de 10 pouces. Une longueur de 8 pouces (20,3 cm) et une circonférence de 7 pouces (17,8 m) peuvent être des valeurs maximales pour lesquelles la fonctionnalité est maintenue (2,83 x 2,83 x 20,3 x 3,14 = 510 millilitres de sang). Au-delà, il y a dysfonctionnement érectile.

Si la longueur de 8 pouces et la circonférence de 7 pouces ne suffisent pas, il est possible d'envisager un gode pour chevaux. Ils sont fabriqués en Chine.

Ci-dessous, quelques commentaires sur la taille du pénis d'une lectrice, Ka, reportés de 2003 :

Bonjour,

Je suis tombée sur votre site web il y a quelques heures. J'ai beaucoup apprécié vos essais. Il est presque 5 heures du matin ici (Toronto, Canada), et je viens d'arrêter de lire.

Je viens de taper "amour" dans mon moteur de recherche... je ne sais même pas pourquoi (je suppose que je voulais juste me concentrer sur quelque chose de doux avant d'aller me coucher). Votre inclusion de notre neurologie était géniale. Et votre sincérité était rafraîchissante. Je lirai quelques autres de vos articles demain soir.

Maintenant, j'ai quelques questions :

1. Vous faites beaucoup d'éloges sur le tongkat ali. J'ai entendu dire qu'il faisait monter en flèche le taux de testostérone (ce qui expliquerait l'irritabilité et le désir sexuel). Mais savez-vous quels sont ses effets sur les femmes (non pas que j'aie besoin d'aide dans le domaine de l'excitation) ? Je suis juste curieux.

2. Dans votre essai : "L'orgasme féminin en Asie", vous parlez de l'orgasme féminin... et ainsi de suite. Je dois dire ceci (en fait à tous les hommes du monde) : N'agissez pas comme si vous étiez en mission au lit. Il y a eu beaucoup d'hommes qui étaient déterminés à me donner un orgasme... et j'ai fini par le simuler. Une fois que l'homme semble être en mission, la magie disparaît. Pour moi, je peux être immensément satisfaite sans orgasme (s'il y en a un, tant mieux !... mais s'il n'y en a pas... alors laissez tomber).

3. Vous avez également parlé de la taille du pénis. Eh bien, c'est important ! C'EST IMPORTANT ! (Du moins pour moi). Il fut un temps où, si j'aimais bien un garçon et que je pensais qu'il y avait un potentiel pour une relation plus sérieuse, j'y allais doucement, je ne couchais pas avec lui tout de suite... bla bla... Mais maintenant, j'essaie de le mettre dans mon lit rapidement : J'essaie de le mettre au lit rapidement. Je ne veux pas commencer à l'aimer... et ainsi de suite... et découvrir ensuite qu'il est tout petit en bas. Pour moi, il n'est pas nécessaire que ce soit énorme, mais il faut que ce soit au moins moyen. Et pour moi, ce n'est pas une question de psychologie. Je veux me sentir remplie ! Et s'il n'est pas au moins moyen, je ne veux pas perdre mon temps avec lui. Je ne veux pas épouser un homme qui est petit. Il peut faire la meilleure fellation du monde... mais s'il ne peut pas me remplir correctement... alors je m'en vais. Je ne veux pas m'attacher émotionnellement, même s'ils sont formidables, et découvrir ensuite que je les tromperai à coup sûr si nous continuons.

Ne vous méprenez pas : il n'a pas besoin d'être méga énorme... mais au moins moyen. Je suis sortie avec quelques hommes "petits". Parfois, je me demandais quel était l'intérêt de faire l'amour. Car pour moi, rien ne vaut le plat principal.

4. Je ne comprends pas comment l'augmentation des niveaux de dopamine peut aider un homme à avoir une érection. La cocaïne n'augmente-t-elle pas la quantité de dopamine dans les synapses ? Mais... assez de cocaïne... et un homme n'arrive pas à avoir une érection. Je ne comprends pas. (Je suis sortie avec un consommateur de cocaïne... et il y a eu tellement de déceptions).

Ne vous sentez pas obligée de vous précipiter pour donner des réponses.

Merci,

Ka


Gestion réaliste de la taille du pénis

Beaucoup d'hommes aimeraient avoir un plus gros pénis. Il n'y a rien de mal à cela. Outre un pénis plus grand, de nombreux hommes aimeraient également avoir un physique plus athlétique et, dans la mesure où nous y sommes, un cerveau plus puissant. La question est de savoir jusqu'où l'on peut essayer d'obtenir ces améliorations. Des stéroïdes anabolisants pour un physique athlétique, comme le préconise le gourou des stéroïdes Dan Duchaine dans son ouvrage Underground Body Opus, ou des séances de LSD pour élargir son esprit, comme le préconise Timothy Leary dans son ouvrage Turn On, Tune In, Drop Out, le messie de l'underground. Ou, beaucoup moins métaphysique, passer sous le bistouri pour une phalloplastie (chirurgie esthétique du pénis).

Or, much less metaphysical, going under the knife for some phalloplasty (cosmetic surgery of the penis).

Mais l'abus de stéroïdes anabolisants raccourcit considérablement la durée de vie d'un homme, et les hôpitaux psychiatriques du monde entier ont hébergé, pendant des décennies, des milliers de personnes devenues schizophrènes à la suite d'un bad trip. Le terme scientifique est : "Psychose au LSD" : Psychose au LSD

Les effets secondaires possibles de la phalloplastie d'élargissement comprennent un pénis déformé et une dysfonction érectile permanente, avec un pénis gorgé de sang qui pend entre les jambes parce que le ligament suspenseur, qui devrait normalement fournir un angle vers le haut, a été coupé. Les choses peuvent également mal tourner de manière plus dramatique. Le 5 mars 2019, le milliardaire israélien Ehud Arye Laniado, négociant en diamants, est décédé lors d'une opération d'agrandissement du pénis à Paris. Deux ans plus tôt, un Suédois est décédé lors d'une opération d'agrandissement du pénis, la graisse injectée s'étant délogée dans sa circulation sanguine et ayant provoqué une embolie.

Le défigurement (comme le prépuce de Roberto Cabrera qui lui arrivait aux genoux) et le dysfonctionnement seront également les seuls résultats de l'élargissement du pénis par l'utilisation de poids suspendus.

La seule approche réaliste consiste à travailler sur la tonicité du tissu pénien.

Tout homme sait qu'il est parfois facile d'avoir un plus gros pénis. Le pénis n'a pas de taille fixe. La taille de l'organe dépend de la tonicité du tissu pénien. En fonction de la tonicité des tissus, la taille peut augmenter considérablement. Dans un contexte normal, l'excitation sexuelle déclenche la biochimie appropriée.

Le tissu pénien à tonalité positive sera sensiblement plus grand (il doublera de taille) que le tissu pénien à tonalité négative (traité avec des drogues sympathiques comme la cocaïne ou les amphétamines, ou même simplement avec trop de café).

La taille du pénis ne dépend pas du nombre de cellules, mais de leur constitution. Cela n'est pas propre au pénis, mais vaut également pour d'autres organes.

Les muscles, ceux que les culturistes entraînent (on les appelle les muscles squelettiques), par exemple. Les culturistes qui prennent de l'ampleur ne développent pas une seule nouvelle cellule musculaire. Ils ne font qu'agrandir les cellules musculaires existantes. Les gains des bodybuilders sont-ils permanents ? Non, bien sûr. Si l'on arrête l'entraînement, les gains sont perdus au bout d'un certain temps.

Le pénis humain est une éponge. Pour qu'une érection se produise, le pénis doit se remplir de sang. Les processus biochimiques qui réduisent ou augmentent la taille du pénis dépendent des vaisseaux sanguins et des cellules musculaires lisses du tissu érectile. Le flux sanguin vers le pénis et la rétention du sang sont régis par plusieurs voies interdépendantes. Le système nerveux sympathique génère des impulsions de flaccidité qui contractent le tissu pénien, tandis que le système nerveux parasympathique détend les cellules musculaires lisses des vaisseaux sanguins et les éponges des corps caverneux et des corps spongieux, permettant ainsi l'engorgement. Mais il ne s'agit pas d'une commutation de type "ou bien, ou bien". En fonction de nombreux facteurs, l'engorgement et le rétrécissement sont progressifs. La flaccidité d'un même pénis peut varier entre 1 et 4 pouces de longueur, ce qui peut être contrôlé pharmacologiquement, sans stimuli sexuels.

Le tonus du tissu sympathique est facilement induit par les amphétamines et les drogues imitant les amphétamines : speed, meth, ice, cocaïne, crack et autres substances de cette catégorie réduiront, en fonction de la dose, le pénis à des dimensions étonnamment minimes. Le simple fait de s'abstenir de consommer ces substances abusives doublera ou triplera automatiquement la taille du pénis, qu'il soit flasque ou en quelque sorte en érection.

Les stimuli sympathiques mineurs comme le café et les boissons contenant de la caféine, telles que les boissons énergisantes, ont un effet similaire, bien que moindre.

Les facteurs hormonaux jouent également un rôle. Tout ce qui diminue la fonctionnalité des testicules réduira également la taille des testicules et des tissus adjacents. Les analogues exogènes de la testostérone, tels que les stéroïdes anabolisants (le plus souvent le déca-durabolin) ou la thérapie de remplacement de la testostérone, arrêtent la synthèse de la testostérone par les testicules et provoquent ainsi une atrophie partielle (deca dick).

D'autre part, le tongkat ali, qui améliore la fonction testiculaire, peut entraîner une augmentation de la taille des testicules et du pénis, bien que les effets ne soient pas aussi spectaculaires que l'inverse par le biais de stimulants sympathiques. Dans les milieux du bodybuilding, le tongkat ali est un restaurateur reconnu de la fonction testiculaire après les cycles de stéroïdes.

En ce qui concerne la taille et la fonction du pénis, il est toujours plus facile de perturber les processus que de les améliorer.

Pour la fonction érectile, il n'existe qu'une seule catégorie de médicaments approuvée par la FDA, les inhibiteurs de la phosphodiestérase de type 5 (Viagra, Cialis, Levitra et leurs équivalents génériques). Ils interfèrent tous avec un processus qui commence par la conversion de la L-arginine en oxyde nitrique par l'enzyme oxyde nitrique synthase. L'oxyde nitrique stimule l'enzyme guanylate cyclase soluble (sGC) pour former du guanosine monophosphate cyclique (GMPc) à partir de la guanosine triphosphate (GTP). Le GMPc entraîne une relaxation des muscles lisses autour du pénis, ce qui permet au pénis de se remplir de sang, ce qui se traduit par une érection.

Les effets du GMPc dans le pénis sont contrôlés par les phosphodiestérases de type 5, une enzyme qui décompose le GMPc. Les médicaments comme le sildénafil, le tadalafil et le vardénafil agissent en interférant avec l'enzyme phosphodiestérase de type 5 et en l'inhibant, ce qui permet à la GMPc de faire son travail pendant une période prolongée.

Par ailleurs, de nombreux médicaments, y compris les antibiotiques, agissent en interférant avec les enzymes, soit du corps humain, soit des agents pathogènes tels que les bactéries. [Voir : Résumé des médicaments ciblant les enzymes].

Le blocage de la phosphodiestérase de type 5 n'est pas le seul point potentiel d'interférence enzymatique pour faciliter la fonction érectile.

Une autre voie potentielle serait l'interférence avec l'enzyme rho kinase, qui, lorsqu'elle est exprimée de manière excessive, contribue au durcissement des parois des vaisseaux sanguins et des tissus érectiles. Les vaisseaux sanguins et les tissus dont les parois cellulaires sont durcies ne peuvent pas se détendre correctement, même lorsqu'ils sont inondés de GMPc à la suite de l'inhibition de la phosphodiestérase de type 5. Par ailleurs, le tongkat ali est un inhibiteur de la rho kinase et améliore la fonction érectile en contribuant à maintenir l'élasticité des vaisseaux sanguins du pénis. Il n'existe pas encore d'inhibiteurs pharmaceutiques de la rho kinase permettant d'améliorer l'érection.

Le ciblage de l'arginase serait une autre voie de blocage enzymatique potentielle pour soutenir la fonction érectile. L'arginase, qui convertit la L-arginine en L-ornithine, est exprimée de manière excessive chez les patients souffrant d'hypertension, de diabète, d'obésité et d'autres maladies modernes. L'arginase entre en compétition avec l'oxyde nitrique synthase pour le même substrat, l'acide aminé L-arginine. L'idée est que si l'arginase est inhibée, il y aura plus de L-arginine disponible pour l'oxyde nitrique synthase, ce qui devrait se traduire par plus de GMPc et donc de meilleures érections. Hélas, bien qu'il existe des inhibiteurs pharmaceutiques de l'arginase, aucun d'entre eux ne permet d'obtenir de meilleures érections ou un tonus plus détendu du tissu pénien.

Et si la supplémentation en arginine alimentaire est utilisée pour améliorer les performances du bétail (qualité du sperme, plus de viande à l'abattage), les données sur la supplémentation en arginine pour les paramètres sexuels masculins chez l'homme ne sont pas encourageantes.

D'autre part, de nombreuses plantes de la famille des Zingibéracées ou du gingembre (à laquelle appartient également Kaempferia parviflora) ont des effets anti-arginase, ce qui permet d'améliorer de nombreuses affections dues au vieillissement, et pas seulement les troubles de l'érection..€

Néanmoins, Kaempferia parviflora est surtout utile en tant qu'inhibiteur de faible affinité de la phosphodiestérase de type 5. En cas d'utilisation prolongée, l'effet rétrécissant de la phosphodiestérase omniprésente sur les organes génitaux sera réduit, ce qui contribuera à une relaxation de fond des cellules musculaires lisses du pénis et permettra un meilleur afflux de sang dans les éponges péniennes. Il est évident que les érections naturelles seront alors plus faciles et que le pénis sera élargi, même en l'absence d'érection.

Dans l'argot sexuel, Kaempferia parviflora transforme un "grower" (un petit pénis flasque qui grossit considérablement en cas d'érection) en "shower" (un grand pénis flasque qui grossit moins considérablement en cas d'érection). Dans ce contexte, le terme "douche" n'a rien à voir avec le fait de prendre un bain, mais il est dérivé de "montrer" et se prononce comme tel.

L'ajustement du tonus du tissu pénien est la seule option réaliste pour augmenter la taille du pénis. Pour l'état de flaccidité, une bonne gestion du tonus du tissu pénien fera plus de différence que pour l'état d'érection. Pour l'état de flaccidité, quelque 70 % de la taille de l'état d'érection sont accessibles avec des inhibiteurs naturels de la phosphodiestérase de type 5 comme Kaempferia parviflora et Boesenbergia rotunda (un autre membre de la famille des Zingibéracées).

La rigidité peut être améliorée avec le yohimbe, mais attention : le yohimbe peut tuer les hommes souffrant d'hypertension ou d'une faiblesse cardiaque. Le yohimbe a été interdit "dans plusieurs pays européens (Royaume-Uni, Irlande, Pays-Bas, Belgique, Danemark, République tchèque) ainsi qu'au Canada, en Australie et en Nouvelle-Zélande". [Source : Évaluation de la sécurité du yohimbe]. Même si le yohimbe ne tue pas, des effets secondaires tels que la tachycardie (accélération du cœur), les palpitations (sensation de battements de cœur) et l'insomnie pendant 24 heures font souvent du yohimbe une expérience inconfortable.


Vous ne voulez pas un plus gros pénis ?

Même si vous n'êtes pas intéressé par un pénis plus grand, il y a de bonnes raisons d'inclure Kaempferia parviflora dans votre régime alimentaire.

Vous pouvez effectuer une recherche sur scholar.google.com pour : Kaempferia parviflora obésité

Vous trouverez plus de 20 études, dont la plupart en double aveugle et contrôlées par placebo, qui aboutissent toutes au même résultat : les méthoxyflavonoïdes de Kaempferia parviflora inhibent l'enzyme lipase pancréatique. La lipase pancréatique est libérée du pancréas par des canaux dans le duodénum (la partie supérieure de l'intestin grêle) où elle hydrolyse (= rupture des liaisons chimiques par les molécules d'eau) les triglycérides, courants dans les graisses alimentaires. Si la lipase pancréatique est inhibée par Kaempferia parviflora, moins de lipides (graisses) sont absorbés dans la circulation sanguine et il y a donc moins de dépôts de tissu adipeux.



Références :

Grossman, E; Rosenthal, T; Peleg, E; Holmes, C; Goldstein, D S (1993), Oral yohimbine increases blood pressure and sympathetic nervous outflow in hypertensive patients, Journal Cadiovascular Pharmacology, Vol 22(1), Pages 22-6, https://doi.org/10.1097/00005344-199307000-00004

2013, Scientific Opinion on the evaluation of the safety in use of Yohimbe (Pausinystalia yohimbe (K. Schum.) Pierre ex Beille), EFSA Journal, Vol 11(7), Pages 3302, https://efsa.onlinelibrary.wiley.com/doi/pdf/10.2903/j.efsa.2013.3302

Hwang, Jae-Kwan; SA, Bo Kyung; Kim, Tae Yoon (2012), Use of kaempferia parviflora wall. ex. baker extracts or flavone compound for preventing or treating muscle diseases, or improving muscle function, Google Patents, https://patents.google.com/patent/EP2851071B1/en

Ghalayini, I F (2004), Nitric oxide–cyclic GMP pathway with some emphasis on cavernosal contractility, International Journal of Impotence Research, Volume 16, Pages 459–469, https://www.nature.com/articles/3901256

Toda, Noboru; Ayajiki, Kazuhede; Okamura, Tomio (2005), Nitric oxide and penile erectile function, Journal Pharmacology Theraphy, Volume 106(2), Pages 233-66, https://doi.org/10.1016/j.pharmthera.2004.11.011

Cartledge, J; Minhas, S; Eardley, I (2001), The role of nitric oxide in penile erection, Expert Opinion Pharmacotheraphy, Vol 2(1), Pages 95-107, https://doi.org/10.1517/14656566.2.1.95

Vardy, M M; Kay, S R (1983), LSD psychosis or LSD-induced schizophrenia? A multimethod inquiry, JAMA Psychiatry, Vol 40(8) Pages 877-83, https://doi.org/10.1001/archpsyc.1983.01790070067008



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